(This PAWW is in French, for once in a while) Bonjour! J’ai décidé d’écrire ce PAWW en français parce que je n’étais pas capable d’écrire en anglais, mais le résultat est pas mal le même. J’ai un peu le syndrome de la page blanche, et je suis vraiment insatisfaite de ce PAWW, pas du concept mais de la façon dont j’ai géré l’histoire, c’est un peu la raison que je le publie aussi en retard (mon record).

Andrei se réveilla au son de son oiseau qui gazouillait joyeusement avec le lever du soleil. Il était habitué à peu d’heures de sommeil et ne se sentait pas productif s’il dormait trop longtemps. Il but son café et mangea rapidement avant de se pencher sur un travail qu’il avait à remettre la semaine suivante pour son cours à distance. Remarquant l’heure, il se leva pour aller au travail. Il se rendit à son garage, ou son oiseau l’attendait. Il le monta et ils s’envolèrent par la fenêtre. Le monde était tellement grand, l’utilisation des oiseaux comme mode de transport avait été mis en place environ un demi-siècle plus tôt, pendant qu’il y avait encore le Grand Peuple.

Il travaillait à une industrie pharmaceutique qui avait inventé le sérum capable de réduire l’organisme humain, les réduisant à moins de 20% de leur capacité initiale. Une recherche faite avait émergé que les déchets et la pollution était produits proportionnellement à la densité des humains, avec la théorie que l’utilisation des ressources pourrait être réduite grandement avec la réduction physiologique humaine. Si un humain utilisait moins d’espace, de même serait son habileté de gaspiller des ressources.

Les événements coulèrent naturellement, la production et construction commencèrent à se faire sur une échelle réduite. Les villes furent majoritairement abandonnées et seulement une partie d’elles furent utiliser pour établir une nouvelle vie, avant qu’une façon de réutiliser les matières fut inventée, et depuis, il n’y avait plus le besoin d’aller chercher directement les ressources naturelles.

Andrei ne travaillait pas dans ce département, mais il savait que les recherchistes travaillaient sur une nouvelle façon de restaurer ce qui pouvait l’être.

L’utilisation d’automobiles était désuète, inutile puisqu’il était maintenant possible d’élever des oiseaux et certains insectes tout comme se faisait l’élevage des chevaux autrefois. Certains se penchaient sur la possibilité de modifier le sérum afin de modifier l’ADN des autres espèces vivantes, mais il n’y avait eu nul besoin jusqu’à présent. Au contraire, de nombreuses espèces avaient été découvertes, puisque les humains vivaient maintenant à leur hauteur. C’était pour cette raison qu’Andrei avait la chance de travailler aux côté de races humanoïdes pas tout à fait de ce monde. Une race d’extra-terrestres venue s’installer il y avait plusieurs siècles de façon inconnue, assez petite pour se fondre avec la faune et observer de plus près que les humains n’auraient pu s’y attendre.

Une de ses collègues s’appelait Kala, diminutif d’un nom long et compliqué. Son physique ressemblait à celle d’un humain, si ce n’était de la double paire de bras qu’elle avait, l’avantageant dans plusieurs domaines. Ses yeux étaient plus larges et en périphérique de son visage plutôt que centrées au niveau des coins de sa bouche. Les valeurs de beauté voulaient que plus grand étaient les yeux, plus la personne était belle. Kala avait la peau améthyste dont Andrei ne s’ennuyait pas d’observer du coin de l’œil. Ses mains ressemblaient à des araignées, avec des longs doigts effilés.

Elle avait aussi un très beau sourire, qu’elle ne se gênait pas de montrer en présence de l’humain. Ils avaient faits quelques activités en dehors du travail, mais Andrei n’était pas une personne audacieuse. Il hésitait, ne sachant pas ce qui se cachait derrière les grands yeux gris électrique. Il y avait en fait beaucoup plus de relations entre même sexe chez les Enquiel, moins de population proportionnellement à la race humaine, donc les hétérosexuels étaient une rareté, spécifiquement chez les femelles.

Andrei ne savait pas les préférences de Kela, mais elle avait répondu à ses tentatives de séduction jusqu’à présent, avec plus de confiance que lui. Il n’y avait que trois Enquiel dans son département, tous aussi attirants les uns que les autres, et convoités secrètement par les humains. Les choses n’avaient pas été comme tel. Après la découverte de la race extra-terrestre, les humains avaient proclamé que la planète était leur et avait cherché à décimer l’espèce entière. Ce fut presque un génocide, puisque les Enquiel ne se défendirent que lorsque leur existence entière fut anéantie. Utilisant une technologie différentes mais très efficace, les humains n’eurent d’autres choix que de rendre les armes. Après un traité de paix et de nombreuses années précaires, les choses en étaient à l’adaptation l’un de l’autre. Les êtres humains s’en étaient tirés avec bon compte, dans l’histoire, alors qu’ils auraient pu être soumis en esclavage, ostracisé, éliminés ou pire, être assimilés en ethnocide comme les humains n’hésitaient pas à se faire entre eux.

En ce moment, Andrei était heureux du cours des événements. Il avait la chance de découvrir un tout nouveau, minuscule monde.

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